Sébastien Bertaud

Concours interne ONP 2013 hommes

Mercredi 6 septembre avait lieu le concours hommes interne de l’Opéra de Paris. Le jury était composé de Brigitte Lefèvre, Laurent Hilaire, Clotilde Vayer, Benjamin Millepied, John Neumeier, Lionel Delanöé (suppléant), Eleonora Abbagnato, Josua Hoffalt, Alessio Carbone, Lucie Clément, Pascal Aubin et Benjamin Pech (suppléant).  Je n’ai pas assisté aux quadrilles et aux coryphées. Vous ne lirez mes impressions que pour les sujets. Si vous décidez de laisser un commentaire, le concours étant toujours un sujet « bouillant » et objet de controverse, merci de rester cordial.

  • Quadrilles

Variation imposée : La Belle au bois dormant, acte 3, Pas de cinq des pierres précieuses. Noureev. Préparée avec Jean-Guillaume Bart. En vidéo, clic (à 2’40)

Nombres de postes à pourvoir : 2

Résultats :

1. Hugo Marchand, promu
2. Germain Louvet, promu
3. Cyril Chokroun
4. Florent Mélac
5. Antonin Conforti
6. Antonin Monié

Germain Louvet, Paquita, Acte II, Grand Pas, variation de Lucien, Pierre Lacotte
Hugo Marchand, Tchaikovski – Pas de deux, George Balanchine
Florent Melac, Le Lac des Cygnes, acte III, variation de Siegfried, Rudolph Noureev
Antonin Monié, Tchaikovski – Pas de deux, George Balanchine
Cyril Chokroun, Grand Pas classique, Victor Gsovsky
Antonio Conforti, Roméo et Juliette, acte I, variation de Roméo, Rudolph Noureev
Takeru Coste, Raymonda, Acte II, 2ème variation d’Abderam, Rudolph Noureev

  • Coryphées

Variation imposée : Paquita, grand pas, variation de Lucien. Chorégraphie Pierre Lacotte. Préparée avec Laurent Novis. En vidéo, clic (à 1′)

Nombre de postes à pourvoir : 2

Résultats :

1. Axel Ibot, promu
2. Sébastien Bertaud, promu
3. Alexandre Gasse
4. Adrien Couvez
5. Maxime Thomas
6. Hugo Vigliotti

Yvon Demol, Notre-Dame de Paris, variation de Frollo, Roland Petit
Grégory Dominiak, Appartement, variation de la télévision, Mats Ek
Alexandre Gasse, L’arlésienne, dernière variation de Frédéri, Roland Petit
Axel Ibot, Dance at a Gathering 1ère variation du danseur en brun, Jerome Robbins.
Mickaël Lafon, La Bayadère, Acte II, variation de Solor, Rudolph Noureev
Jérémy-Loup Quer, La Bayadère, Acte II, variation de Solor, Rudolph Noureev
Maxime Thomas, Dance at a Gathering 2e variation du danseur en brun, Jerome Robbins.
Hugo Vigliotti, Le Rire de la lyre, José Montalvo
Sébastien Bertaud, Push comes to shove, Twyla Tharp
Matthieu Botto, Le Lac des Cygnes, acte III, variation de Rothbart, Rudolph Noureev
Adrien Couvez, Push comes to shove, Twyla Tharp

  • Sujets

Variation imposée : Giselle, acte II variation d’Albrecht, Coralli & Perrot. Préparée avec Andrey Klemm. En vidéo, clic

Nombre de poste à pourvoir : 2

Résultats :

1. Pierre-Arthur Raveau, promu
2. François Alu, promu
3. Fabien Révillion
4. Marc Moreau
5. Daniel Stokes
6. Florimond Lorieux

Florimond Lorieux, Dance at a Gathering 1ère variation du danseur en brun, Jerome Robbins.
Allister Madin, Other Dances, 1ère variation, Jerome Robbins
Julien Meyzindi, La maison de Bernarda, Mats Ek
Marc Moreau, Arepo, Maurice Béjart
Pierre-Arthur Raveau, Marco Spada, acte II, variation de Marco Spada, Pierre Lacotte
Fabien Révillion, Donizetti Pas de deux, Manuel Legris
Daniel Stokes, Notre-Dame de Paris, variation de Frollo, Roland Petit
François Alu, Le Fantôme de l’Opéra, Acte I, variation du fantôme, Roland Petit
Yannick Bittencourt, Suite en blanc, Marzurka, Serge Lifar

Francois-Alu_Etudes_Mazurka

Mes impressions : La variation imposée demandait une belle maîtrise technique, notamment en matière d’entrechats et de tours bien maîtrisés. On attendait de belles arrivées en 5ème position. Des danseurs se sont donc distingués par une maîtrise impeccable. François Alu signe encore une très beau concours dès cette première variation. Tout lui semble toujours aussi aisé. Pierre-Arthur Raveau montre lui aussi une très grande technique doublé d’une interprétation où on le sentait très investi. Fabien Révillion n’est pas en reste, avec des réceptions très silencieuses, bien en 5ème. On remarque aussi les beaux entrechats de Marc Moreau, le ballon d’Allister Madin, les suspensions de Julien Meyzindi, les lignes et le romantisme de Florimond Lorieux.

Les variations imposées permettaient de montrer la couleur artistique de chacun. Gros coup de cœur pour le Fantôme de l’Opéra de François Alu, qui montre une fois de plus son talent, non seulement technique, mais d’interprète. Fabien Révillion est particulièrement charmant et bondissant dans son Donizetti-Pas de deux. Il montre une belle énergie et il est très convaincant. Pierre-Arthur Raveau montre de nouveau une belle technique dans son Marco Spada et déploie toute son énergie dans ce personnage de noble bandit. Daniel Stokes propose un Frollo qui manque un peu de perversion, mais qui ne démérite pas pour autant. Marc Moreau s’attaque à la variation difficile d’AREPO et s’en sort bien, même si je reste sur ma réserve sur le style proposé. On a en tous les cas la sensation d’assister à un très joli concours. J’avais une petite préférence pour le style de Révillion, j’espère qu’on le verra bientôt dans des rôles plus importants.

A la sortie des artistes, François Alu est applaudi par le public, qui semble touché par ce geste. A quand la nomination ?

PAR par Sébastien Mathé

Soirée Forsythe Brown

Si il y a une chose que j’aime dans la danse de William Forsythe, c’est sa capacité à dessiner des formes dans l’espace, avec un questionnement toujours passionnant sur le corps du danseur.  Ainsi devant ses ballets, tout un tableau se remplit de cercles, lignes et polygones en tout genre. Les traits sont plus ou moins épais, ils se tirent, se dessinent avec les différents matériaux que le corps peut offrir. Elastiques, fusain, ou la plume d’un stylo, la palette graphique de Forsythe semble sans limite.

Vincent Chaillet In The Midlle Somewhat was elevated William Forstyhe photo de Julien Benhamou

La musique de Thom Willem a les mêmes couleurs que la danse. Crée pour les pièces la plupart du temps, mais sans lien comme chez Cunnigham, l’univers sonore du compositeur anglais donne à voir des formes musicales diverses et toujours nouvelles. Eclairs, grincements, suspension métallique, un monde se construit qui prend une forme physique lui aussi dans l’espace. La danse et la musique fusionnent sur le corps des danseurs.

J’ai vu deux fois la même distribution lors de la générale et de la première. Les deux fois j’ai vécu les mêmes émotions face à cette soirée qui m’a enchantée.

In the middle est le « diamant brut » de Forsythe. Chef d’oeuvre crée en 1987 avec Guillem/Hilaire/Legris, il fait aussi partie du ballet Impressing the Czar. Il faut absolument oublier cela pour rentrer dans la version de 2012. C’est ce que souhaite le maître américain, c’est ce qu’il a demandé à ses interprètes. On recommence et on se réapproprie l’oeuvre, l’imitation n’étant jamais bonne. Attention les yeux, Aurélia Bellet est sublime dans cette pièce et il ne faut pas la manquer. Son pas de deux avec Vincent Chaillet est envoutant, elle est fascinante. Chaillet montre tous ses talents. Cette danse terriblement sensuelle met en valeur les corps des hommes, avec ces lignes très précises dans les jambes tandis que les dos se courbent. Le passage où Chaillet est en 4ème position fondu sur la jambe de derrière, le dos dans l’alignement, puis qui d’un coup se courbe est très euphorisant. Cela vous prend au ventre comme la musique qui se gonfle d’un son qui semble venir de loin. Les danseurs marchent comme des automates, ils encadrent la scène avant d’entrer et de sortir. Ce pièce faite d’un thème, l’excellence technique qui joue avec la gravité, se décline en solo, duo, trio, que les danseurs de l’Opéra exécutent avec un investissement rare, si bien qu’on a eu l’imrpession de ne voir qu’un éclair parfaitement dessiné dans le ciel. Magique !

Soirée Forsythe Brown copyright photo Anne Deniau

Au milieu des pièces de Forsythe, on a eu la bonne idée de remettre ce petit bijou d’O Zlozony O composite de Trisha Brown. Contraste complet. Fond de scène étoilé, bienvenue dans le rêve de Trisha Brown. La danse est comme en apesanteur, faite de courbe qui s’enchaînent et s’entrelacent sans heurs. La pièce a encore gagné en épaisseur et je l’apprécie encore plus qu’il y a trois ans. Ce poème polonais offre à vos oreilles un voyage dans le surnaturel. Chaque séquence de la pièce donne à voir des qualités de mouvements différentes et pourtant il y a une continuité dans le langage proposé.  Le tout dansé magnifiquement par Le Riche Dupont et Bélingard… Cela ne vous suffit-il pas pour partir dans la troisième dimension ?

Jérémie Bélingard dans O Zlozony O Composite de Trisha Brown Merci Agathe Poupeny pour cette belle photo !

 

Univers beaucoup plus solaire avec Woundworks 1 qui ne m’a pas trop emballée. Il y a un aspect frustrant qui fait qu’un a du mal à voir en même temps les deux couples et on a la sensation de rater quelque chose.  Quand votre regard se pose sur l’un, difficile d’aller vers l’autre. Il y a très peu de pauses dans le mouvement et on reste bloqué. Les deux soirs, je n’ai pas décroché mon regard du couple Le Riche /Ciaravola. Le dos de Nicolas Le Riche, les jambes d’Isabelle Ciaravola, cela suffirait presque devant une pièce qui vous laisse quelque peu sur votre faim.

Pas. /Parts de William Forsythe copyright photo Agathe Poupeney

La soirée se termine en beauté avec Pas. / Parts. Comme dans Woundworks 1, le décor se compose simplement de rideaux de mousseline sur lesquels on peut changer les éclairages et créer des ambiances différentes. Alors là tout m’a plu ! Le solo de Sabrina Mallem, le duo Bélingard/Abbagnato, le duo court mais intense et viril de Bélingard / Bézard (si vous êtes cardiaque, évitez….), le solo d’Aurélien Houette, toujours aussi bon dans tout ce qu’il touche, la légèreté puissante de Bertaud, les jambes de Gillot qui défie sans cesse les lois de la gravité et ce chachacha qui vous donne envie de vous lever de votre siège et de de danser !

NB : même au 5ème rang de parterre, il vaut mieux être côté jardin.

Distribution des 30 novembre et 3 décembre 2012

IN THE MIDDLE SOMEWHAT ELEVATED

Aurélia BelletAlice RenavandValentine ColasanteLaurène LévyEléonore Guérineau,Charlotte Ranson
Vincent ChailletMarc MoreauDaniel Stokes
O ZLOZONY O COMPOSITE
Aurélie Dupont
Nicolas Le RicheJérémie Bélingard
WOUNDWORKS 1
Agnès LetestuIsabelle Ciaravola
Nicolas Le RicheHervé Moreau
PAS./ PARTS.
Marie-Agnès GillotNolwenn DanielEleonora AbbagnatoSabrina MallemValentine ColasanteJuliette HilaireCaroline RobertCaroline Bance
Jérémie BélingardAudric BezardAurélien HouetteChristophe DuquenneSébastien BertaudCyril Mitilian

Nouvelles de la semaine de Pâques

Marrakech havre de paix

Pour moi les jolis gourmandises que j’ai dans la tête, ressemblent plus à des cornes de gazelle qu’à des oeufs. Le petit rat vient de rentrer d’une semaine à Marrakech, complètement déconnecté dela vie réelle et de la danse, je dois bien l’avouer. Pour ce qui est de Marrakech, c’était absolument exquis et reposant, loin du stress parisien. C’est donc en pleine forme et bronzé que le petit rat attaque cette semaine avec deux Roméo et Juliette (voire trois si je me bouge pour voir Myriam Ould-Braham) et un Mats Ek si j’arrive à voir des places.

  • La sortie ballet de la semaine : La nouvelle création de Gallotta

Ça se passe au Théâtre de la ville. Après son hommage à Gainsbourg,  L’homme à la tête de chou, qui était de nouveau donné cette saison au Théâtre du Rond-Point. Je n’avais personnellement pas aimé cette oeuvre, mais l’énergie de Gallotta peut en emporter plus d’un. Il revient sur la scène avec un solo Faut qu’je danse, spécialement écrit pour lui. Le titre me donne envie de voir cette pièce tant cette phrase ce cri, peut être celui qui est au fond de chaque danseur. Un cri mais aussi une sorte d’évidence. Bref un sujet très prometteur. La deuxième pièce intitulée Daphnis é Chloé, est une reprise d’un pièce de 1982. Trois jeunes danseurs vont de nouveau interpréter la création de Gallotta.

A lire l’article de Rosita Boisseau dans Le Monde, l’article de Phillipe Noisette dans Les Echos, l’article de Delphine Goater sur Resmusica.

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Jean-Claude Gallotta
CCN de Grenoble Groupe Emile Dubois Compagnie

FAUT QU’JE DANSE ! création
Prologue à Daphnis é Chloé
chorégraphié et interprété par Jean-Claude Gallotta
assistante à la chorégraphie Mathilde Altaraz

DAPHNIS É CHLOÉ re-création
Chorégraphie Jean-Claude Gallotta
assistante à la chorégraphie Mathilde Altaraz
musique de et enregistrée par Henry Torgue, piano

Du 18 au 30 avril
au Théâtre de la Ville – Les Abesses
31 rue des Abbesses – 75018 Paris

  • La nomination de la semaine : Vincent Chaillet nommé pour les Benois de la danse.

La nouvelle est tombée il y a quelques jours sur le site des Benois de la danse. Ce prix est une sorte d’oscar de la danse. J’en profite pour vous donner la liste complète. Je suis contente que Vincent Chaillet ait obtenu cette reconnaissance, il le mérite bien. Si vous en doutez allez donc le voir danser dans la soirée Mats Ek et dans Roméo et Juliette.


sculpture

Chorégraphes

CIDI LARBI CHERKAOUI/DAMIEN JALET — BABEL, Divers music, Eastman (Belgium).
JORMA ELO — A MIDSUMMER NIGHT’S DREAM, F. Mendelssohn, Vienna State Ballet; SLICE TO SHARP (new version), H. Biber, A. Vivaldi, Stanislavsky Theatre
Ballet (Moscow, Russia).
CRYSTAL PITE — PLOT POINT, B. Hermanns, Netherlands Dance Theatre.
ZHANG ZHENXIN — CLOSE YOUR EYES WHEN IT’S GETTING DARK, R. Ikeda, E. Serra, D. -E. Edwards, National Ballet of China.

Danseuses

BERNICE COPPIETERS — The title role in Scheherazade, N. Rimsky-Korsakov/J. -Ch. Maillot, Les Ballets de Monte-Carlo.
LORENA FEIJOO — Kitri in Don Quixote. L. Minkus/M. Petipa, A. Gorsky (version of Jorge Texeira), Cuban Classical Ballet of Miami (USA).
EKATERINA KONDAUROVA — The title role in Anna Karenina, R. Schedrine/A. Ratmansky, Mariinsky Theatre.
ALEXANDRA LIASHENKO — The title role in Cinderella, S. Prokofiev/F. Ashton, Polish National Ballet.
MARIA YAKOVLEVA — Principal party in Rubies, I. Stravinsky/G. Balanchine, Vienna State Ballet.
ZHU YAN — the grown up girl in Outrenoire, J. Cage/J. Bubeniček, National Ballet of China.

Danseurs

VINCENT CHAILLET — O Zlozoni/O Composite, L. Anderson/T. Brown, Opera National de Paris.
DENIS CHEREVICHKO — The Vertiginous Thrill of Exactitude, F. Shubert/W. Forsythe, Vienna State Ballet.
SEMION CHUDIN — Feb in Esmeralda, C. Pungi, R. Glière, S. Vasilenko/V. Burmeister; Slice to Sharp, H. Biber, A. Vivaldi/J. Elo;
La Petite Morte, V. A. Mozart/J. Kilian, Stanislavsky Theatre Ballet (Moscow, Russia)
HAO BIN — the grown up boy in Outrenoire, J. Cage/J. Bubeniček, National Ballet of China.
FERNANDO ROMERO — Dante in Paseo por el Amor y la Muerte, J. Cage, T. Takemitsu, Y. Matsudaira, collage of cantaores clasicos
antiguos/F. Romero, Theatre Lope de Vega (Sevilla, Spain).
ROLANDO SARABIA — Basilio, Don Quixote, L. Minkus/M. Petipa, A. Gorsky (version of Jorge Texeira), Cuban Classical Ballet of Miami (USA).
CÉDRIC YGNACE — Basilio, Don Quichot, L. Minkus/ M. Petipa, A. Gorsky (version of A. Ratmansky), Het National Ballet (Netherlands).

 

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  • La bonne action de la semaine : aller voir le gala Les Etoiles pour le Japon

Cela a lieu au Palais des Congrès le 31 mai, l’argent sera reversé à la Fondation de France qui se chargera d’aider les victimes du séisme. Je vous laisse la liste des artistes participants qui fait rêver tout de même !

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Carlos Acosta (principal, Royal Ballet Londres)
Michael Banzhaf (Primier danceur, StaatsOper Ballet de Berlin)
Ashley Bouder (principale, New York City Ballet)
Jiri Bubenicek (principal, Semperoper Ballet de Dresde)
Otto Bubenicek (principal, Ballet de Hamburg)
Elisa Carrillo Cabrera (premier danceur, StaatsOper Ballet de Berlin)
Isabelle Ciaravola. (Etoile, Opéra National de Paris) **
Marlon Dino. (principal, StaatsOper Ballet de Munich)
Olga Esina (principale, StaatsOper Ballet de Vienna)
Julien Favreau. (principal, Bejart Ballet Lausanne)
Mathieu Ganio. (Etoile, Opéra National de Paris) **
Dimitri Gruzdev. (principal, English National Ballet)
Mikhail Kaninskin (principal, StaatsOper Ballet de Berlin)
Igor Kolb (principal, Ballet du Theatre de Mariinsky)
Elena Kuzmina (principale, Eifman Ballet de St.Petersburg)
Lucia Lacarra. (principale, StaatsOper Ballet de Munich)
Roman Lazik (principal, StaatsOper Ballet de Vienna)
Femanda Oliveira (principale, English National Ballet)
Andrey Merkuriev ( premier danceur, Ballet du Theatre Bolshoi)
Shoko Nakamura. (principale, StaatsOper Ballet de Berlin)
Kateryna Shalkina. (principale, Bejart Ballet Lausanne)
Friedemann Vogel (principal, Ballet du Stuttgart)
Igor Zelensky (Principal, Ballet du Theatre de Mariinsky)

Pour réserver vos places, suivez le lien. de 35 à 150€.

  • Le bonus vidéo de la semaine : Fugitif de Sébastien Bertaud

Retour sur la soirée des danseurs chorégraphes, qui avait eu lieu en janvier. Voilà quelques extraits de la pièce de Sébastien Bertaud. A voir aussi  la pièce d’Allister Madin, en entier s’il vous plait sur sa chaine youtube.