danseurs chorégraphes

Nouvelles de 2013 n°7

Après l’annonce de la saison 2013-2014 de l’Opéra de Paris, qui j’ai l’impression a fait moins de remue-ménage que celle de la saison passée, j’ai immédiatement pris mon abonnement (je découvre deux jours après que j’ai eu tort, car l’AROP propose désormais -25% au moins de 30 ans…). Je suis pour ma part ravie de cette saison, car on va revoir de beaux ballets, comme Doux Mensonges, que j’adore. Le Bolchoï en compagnie invitée c’est définitivement une valeur sûre. Beaucoup de soirées mixtes, c’est quelque chose que j’apprécie tout particulièrement. J’ai aussi jeté un oeil à la saison lyrique, qui est particulièrement excitante également, avec Olivier Py qui vient monter 2 opéras, de même que Bob Wilson et Carsen. Je ne manquerai pas la mise en scène de Vec Makropulos de Warlikowsky, j’ai déjà manqué à regret sa Médée au TCE, je ne me ferai pas avoir deux fois. Je trouve qu’on a vraiment de belles choses sur le papier. Seul bémol, les prix à nouveau, qui sont très élevés, un peu plus que l’an passé. En opéra c’est inabordable, (pour un revenu moyen, j’entends bien) en danse, c’est plus facile, mais voir tous les spectacles de la saison représente tout de même un certain budget, trois plus que dans un autre théâtre national. Je compte donc me couper un bras pour mon abonnement ! Faites-en de même, car la magie sera malgré tout au rendez-vous !

Mardi je suis allée à la soirée Danseurs chorégraphes et je n’ai pas été déçue. J’ai passé une très belle soirée, en découvrant les styles et les langages des uns et des autres. Entre narratifs et ballets abstraits les danseurs ont expérimenté de jolies choses, en gardant en permanence le public, très captivé et ravi de cette soirée. Les applaudissements étaient très chaleureux. Pour relire ma chronique, clic.

Mercredi, entre la naissance du fils d’une amie (à qui j’envoie toutes mes bonnes ondes, bienvenue petit Nathan) et la fatigue, j’ai assistée une parenthèse enchantée au Théâtre du Rond Point. Tout est normal mon cœur scintille, m’a transportée, fait pleurer, aimanté le regard, fait rire, bref j’ai passé un moment fabuleux. Amoureux de la poésie, ne manquez pas ce petit trésor, vous passerez un très joli moment. A voir sans modération.

  •  Les sorties de la semaine

La sortie de la semaine à ne pas manquer, parce que ce n’est qu’un seul soir, c’est le Gala Noureev. Pour le programme on verra donc :
Le pas de deux de Casse-Noisette avec Myriam Ould-Braham et Josua Hoffalt
La Belle au bois dormant (Adage à la rose) avec Aurélie Dupont
Le pas de deux de Cendrillon, avec Marie-Agnès Gillot et Florian Magnenet
Don Quichotte (Fandango) Eve Grinsztajn et Vincent Chaillet
Le pas de deux de Don Quichotte avec Ludmila Pagliero et Karl Paquette
Raymonda (Variation de la claque) avec Isabelle Ciaravola
Le Lac des cygnes (Cygne blanc) avec Emilie Cozette et Hervé Moreau
Le Lac des cygnes ( Cygne noir) avec Dorothée Gilbert, Mathieu Ganio et Benjamin Pech
Le pas de deux de Roméo et Juliette  avec Lætitia Pujol et Nicolas Le Riche
Manfred  avec Mathias Heymann
La Bayadère (les Ombres) Agnès Letestu et Stéphane Bullion et le corps de ballet.

Rudolph Noureev

Dans un tout autre genre, mais qui fait aussi hommage au Sacre, il ne faut pas rater Le Sucre du Printemps au Théâtre de Chaillot. Marion Muzac et Rachel Garcia ont inventé une pièce où elles font danser des enfants et des adolescents, car tout comme le sacrifice de l’élue pour le retour du printemps, l’adolescence est aussi un sacrifice, une rupture pour passer à l’âge adulte. Sur la musique de Stravinsky, 30 enfants ont été choisis pour participer à ce joli projet qui projet d’être intéressant.
Plus d’infos et réservations, clic.

Le sucre du printemps

  • En vrac

L’enquête progresse au Bolchoï sur l’attentat de Sergueï Filin. Ce ne serait plus un membre de la troupe  A lire dans Le Point, clic et dans Le Monde, clic.

Isabelle Ciaravola a une actualité chargée en ce moment. Elle a un nouveau site internet, visible à l’adresse isabelleciaravola.fr. Très joli, de belles photos, des infos, allez y faire un tour. Par ailleurs, elle continue de lancer sa collection de justaucorps pour Ballet Rosa et fera un présentation chez Cas danse le 8 mars à 18h30. Par ailleurs, elle sort un DVD avec Andrey Klemm Sur les pointes avec une étoiles.

Isabelle Ciaravola chez Cas Danse

Gala Noureev quelques articles dans la presse  : Que reste t-il de Noureev ? Philippe Noisette répond que son esprit est bien vivant. A lire dans Les Echos, clic. Ariane Bavelier souligne que ce gala sera aussi un évènement car on va revoir Mathias Heymann sur la scène de Garnier, clic. Par ailleurs, un autre article d’Ariane Bavelier qui présente le Gala et qui regrette qu’il ne soit pas diffusé en salle de cinéma. C’est vrai que cela aurait pu être une bonne idée ou bien filmé par Arte Live Web pour une diffusion plus large. A lire clic. A réécouter sur France Inter, la marche de l’histoire, clic.

Etiez-vous au Louvre vendredi dernier pour voir la chorégraphie de Damien Jalet ? Non ? Ne manquez pas les prochains rendez-vous de la danse dans les musées, à lire dans Paris Match, clic.

Myriam Ould-Braham attend un heureux évènement ! Plein de bonheur à elle !

  • La vidéo de la semaine

Le trailer du DVD d’Isabelle Ciaravola.

Danseurs chorégraphes édition 2013

Ce type de soirée devrait être organisée bien plus souvent tant les personnalités des artistes de la compagnie sont intéressantes et singulières. Chacun a montré un langage bien particulier, une atmosphère, un style. Narratifs ou abstraits, les pièces présentées ont ravi les spectateurs.

Saluts danseurs chorégraphes

La soirée s’ouvrait avec Premier Cauchemar de Samuel Murez. Chorégraphe désormais confirmé et reconnu, sa compagnie 3ème étage est de grande qualité. Tout comme l’extrait de cette pièce. Fumée blanche, lumière bleutée, un homme en pyjama, les cheveux ébouriffés se retrouve entouré d’une armée de cols blancs, aux yeux figés, presque sanguinaires. Ils vont le harceler, tel des automates mués par un seul objectif. C’est admirablement réglé, rien n’est laissé au hasard. Les passages de groupes avec les mallettes de travail sont très bien ficelés. Des lignes de danseurs se succèdent avec une utilisation de l’espace inventive. Murez a l’intelligence de la construction des ensembles. On se croirait dans l’apprenti sorcier avec cette oppression des hommes en costumes, mais qui est amusante pour le spectateur. C’est très réussi, trop court, il faudra donc absolument voir la pièce en entier.

Interprètes : Hugo Vigliotti (Le Rêveur / Alfred), et Lydie Vareilhes, Laura Bachman, Léonore Baulac, Leila Dilhac, Claire Gandolfi, Camille de Bellefon, Emma d’Humière, François Alu, Jeremy-Loup Que, Antonio Conforti, Takeru Coste, Niccolo Balossini, Axel Alvarez et Loïc Pireaux (les bureaucrates).

Premier cauchemar

On passe dans un autre registre, complètement différent, et plus abstrait avec Deux à deux du jeune Maxime Thomas. On est ici dans la recherche de la forme. Le couple évolue ensemble. Au début, ils ne se regardent pas. Puis, ces deux êtres vont entrer en osmose. Les formes très rectilignes s’adoucissent sans perdre leur qualité. Les danseurs dansent comme les notes passent d’une ligne à l’autre sur la partition. Cela se complexifie à mesure qu’on avance, sans que le spectateur ne se perde.

Interprètes : Letizia Galioni et Maxime Thomas.

Letizia Galloni, Maxime Thomas dans Deux à deux

En attendant l’année dernière, est une pièce très graphique. Fond rouge, seule l’ombre de Lucie Fenwick apparait. A la fois élégante et imposante, elle déploie ses bras tels des ailes. Les formes se répètent, puis le corps disparaît dans une lumière éblouissante. On vit une belle expérience visuelle. Grégory Gaillard fait ensuite évoluer Lucie Fenwick dans l’espace, toujours avec une répétition des gestes. C’est très doux, presque suave par moment, plein de poésie.

Interprète : Lucie Fenwick.

Kaléidoscope est une pièce « signature ». Allister Madin a construit ce Kaléidoscope en 4 volets, qui lui ressemblent beaucoup. Le 1er tableau avec Fanny Gorse est très beau. Elle, sublime dans ce costume de mousseline noire transparente, bouge, très sensuelle. Les mouvements du tissu font à eux seuls chorégraphie. Les teintes d’Espagne ajoutent du piquant à ce solo enivrant. J’ai beaucoup aimé le dernier volet de cette pièce. Les garçons tenaient une corde blanche tendue, tandis que les filles dansaient à cette corde comme on danse à une barre. Ambiance très sombre, seule la corde étaient éclairée et les jeux de lumières avec les corps des filles plongeaient le spectateur dans une ambiance à nouveau très sensuelle et plein de volupté. On ne peut s’empêcher aussi de penser aux pièces de Decouflé, et à celle qui porte le même nom. Allister Madin travers un univers puis un autre, danse, cirque, jeux de lumières, tout cela se mélange dans une forme nouvelle.

Interprètes : Fanny Gorse, Caroline Osmont, Gwenaëlle Vauthier, Camille de Bellefon, Allister Madin et Hugo Marchand.

Fanny Gorse dans Kaleidoscope

J’ai adoré Smoke Alarm de Julien Meyzindi, surtout pour les mouvements choisis et la matière dans laquelle ils étaient produits. Un homme pyromane se détache de son addiction par amour pour une femme. La danse était très en tension, avec des arabesque qui faisaient office de respiration. Les gestes étaient très dessinés dans l’espace, le pas de deux était très fluide. On sentait beaucoup de travail et de répétitions. Rien n’avait été laissé au hasard, chaque pas était mûrement réfléchi, pour faire sens dans la sortie de la caverne de cet homme fou qui s’assagit par amour. J’ai été transporté par le style de Meyzindi, élégant et princier, comme l’est le danseur.

Interprètes : Alice Renavand et Alexandre Gasse.

Alexandre Gasse dans Smoke Alarm

Encore un changement d’atmosphère Songes du douanier d’Alexandre Carniato et Morgane Dragon. On s’installe dans un tabelau du Douanier Rousseau. Animaux et oiseaux se déplacent dans cet univers. On ne voit que les jambes de Letizia Galloni, transformée en un paon magnifique. Les personnages se font tantôt animaux, tantôt charmants gens du monde discutant en mouvement. Aurélien Houette y est, comme à son habitude troublant, tant il est capable de s’approprier tous les langages. Ce rôle lui donne à nouveau un visage fascinant. Charlotte Ranson est délicieuse, et Carniato prend une allure très animale et juste pour mener cette petite troupe. La pièce porte bien son nom ; ce songe nous balade à travers les couleurs d’un tableau.

Interprètes : Letizia Galloni, Charlotte Ranson, Aurélien Houette et Alexandre Carniato.

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La dernière pièce présentée, Stratégie de l’hippocampe de Simon Valastro,
met en scène une famille avec leur chien. On se croirait dans un film tant les costumes et l’ambiance est bien réalisée. La pièce présente les différents rapports qu’il peut exister dans une famille qu’on ne choisit pas. Beaucoup d’amour peut y naître, beaucoup de désamour aussi. On assiste au repas où les enfants se disputent (Eleonore Guérineau est une petite fille telle qu’on pourrait se l’imaginer dans les livres de la Comtesse de Ségur), au deuil de la mère, incarnée par Eve Grinsztajn, qui s’illustre avec beaucoup de grâce  dans un long solo, très bien écrit qui retrace avec brio, les pensées noires, qui habitent l’esprit de cette femme. Il faut également saluer la prestation de Jean-Baptiste Chavignier

Interprètes : Eve Grinsztajn, Éléonore Guérineau, Alexis Renaud, Hugo Vigliotti et Jean-Baptiste Chavignier.

Stratégie de l'hippocampe

Très jolie soirée, on espère que sous l’ère Millepied ce type de soirée se renouvellera, puisque c’est son souhait de créer un espace de création pour que les artistes puissent exprimer aussi leur idées chorégraphiques. Une belle édition cette année en tous, qui mériterait plus de lumières et de dates. Un seul petit regret, aucune danseuse ne s’est essayé à l’exercice. Peut-être dans deux ans !

Nouvelles de la semaine de Pâques

Marrakech havre de paix

Pour moi les jolis gourmandises que j’ai dans la tête, ressemblent plus à des cornes de gazelle qu’à des oeufs. Le petit rat vient de rentrer d’une semaine à Marrakech, complètement déconnecté dela vie réelle et de la danse, je dois bien l’avouer. Pour ce qui est de Marrakech, c’était absolument exquis et reposant, loin du stress parisien. C’est donc en pleine forme et bronzé que le petit rat attaque cette semaine avec deux Roméo et Juliette (voire trois si je me bouge pour voir Myriam Ould-Braham) et un Mats Ek si j’arrive à voir des places.

  • La sortie ballet de la semaine : La nouvelle création de Gallotta

Ça se passe au Théâtre de la ville. Après son hommage à Gainsbourg,  L’homme à la tête de chou, qui était de nouveau donné cette saison au Théâtre du Rond-Point. Je n’avais personnellement pas aimé cette oeuvre, mais l’énergie de Gallotta peut en emporter plus d’un. Il revient sur la scène avec un solo Faut qu’je danse, spécialement écrit pour lui. Le titre me donne envie de voir cette pièce tant cette phrase ce cri, peut être celui qui est au fond de chaque danseur. Un cri mais aussi une sorte d’évidence. Bref un sujet très prometteur. La deuxième pièce intitulée Daphnis é Chloé, est une reprise d’un pièce de 1982. Trois jeunes danseurs vont de nouveau interpréter la création de Gallotta.

A lire l’article de Rosita Boisseau dans Le Monde, l’article de Phillipe Noisette dans Les Echos, l’article de Delphine Goater sur Resmusica.

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Jean-Claude Gallotta
CCN de Grenoble Groupe Emile Dubois Compagnie

FAUT QU’JE DANSE ! création
Prologue à Daphnis é Chloé
chorégraphié et interprété par Jean-Claude Gallotta
assistante à la chorégraphie Mathilde Altaraz

DAPHNIS É CHLOÉ re-création
Chorégraphie Jean-Claude Gallotta
assistante à la chorégraphie Mathilde Altaraz
musique de et enregistrée par Henry Torgue, piano

Du 18 au 30 avril
au Théâtre de la Ville – Les Abesses
31 rue des Abbesses – 75018 Paris

  • La nomination de la semaine : Vincent Chaillet nommé pour les Benois de la danse.

La nouvelle est tombée il y a quelques jours sur le site des Benois de la danse. Ce prix est une sorte d’oscar de la danse. J’en profite pour vous donner la liste complète. Je suis contente que Vincent Chaillet ait obtenu cette reconnaissance, il le mérite bien. Si vous en doutez allez donc le voir danser dans la soirée Mats Ek et dans Roméo et Juliette.


sculpture

Chorégraphes

CIDI LARBI CHERKAOUI/DAMIEN JALET — BABEL, Divers music, Eastman (Belgium).
JORMA ELO — A MIDSUMMER NIGHT’S DREAM, F. Mendelssohn, Vienna State Ballet; SLICE TO SHARP (new version), H. Biber, A. Vivaldi, Stanislavsky Theatre
Ballet (Moscow, Russia).
CRYSTAL PITE — PLOT POINT, B. Hermanns, Netherlands Dance Theatre.
ZHANG ZHENXIN — CLOSE YOUR EYES WHEN IT’S GETTING DARK, R. Ikeda, E. Serra, D. -E. Edwards, National Ballet of China.

Danseuses

BERNICE COPPIETERS — The title role in Scheherazade, N. Rimsky-Korsakov/J. -Ch. Maillot, Les Ballets de Monte-Carlo.
LORENA FEIJOO — Kitri in Don Quixote. L. Minkus/M. Petipa, A. Gorsky (version of Jorge Texeira), Cuban Classical Ballet of Miami (USA).
EKATERINA KONDAUROVA — The title role in Anna Karenina, R. Schedrine/A. Ratmansky, Mariinsky Theatre.
ALEXANDRA LIASHENKO — The title role in Cinderella, S. Prokofiev/F. Ashton, Polish National Ballet.
MARIA YAKOVLEVA — Principal party in Rubies, I. Stravinsky/G. Balanchine, Vienna State Ballet.
ZHU YAN — the grown up girl in Outrenoire, J. Cage/J. Bubeniček, National Ballet of China.

Danseurs

VINCENT CHAILLET — O Zlozoni/O Composite, L. Anderson/T. Brown, Opera National de Paris.
DENIS CHEREVICHKO — The Vertiginous Thrill of Exactitude, F. Shubert/W. Forsythe, Vienna State Ballet.
SEMION CHUDIN — Feb in Esmeralda, C. Pungi, R. Glière, S. Vasilenko/V. Burmeister; Slice to Sharp, H. Biber, A. Vivaldi/J. Elo;
La Petite Morte, V. A. Mozart/J. Kilian, Stanislavsky Theatre Ballet (Moscow, Russia)
HAO BIN — the grown up boy in Outrenoire, J. Cage/J. Bubeniček, National Ballet of China.
FERNANDO ROMERO — Dante in Paseo por el Amor y la Muerte, J. Cage, T. Takemitsu, Y. Matsudaira, collage of cantaores clasicos
antiguos/F. Romero, Theatre Lope de Vega (Sevilla, Spain).
ROLANDO SARABIA — Basilio, Don Quixote, L. Minkus/M. Petipa, A. Gorsky (version of Jorge Texeira), Cuban Classical Ballet of Miami (USA).
CÉDRIC YGNACE — Basilio, Don Quichot, L. Minkus/ M. Petipa, A. Gorsky (version of A. Ratmansky), Het National Ballet (Netherlands).

 

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  • La bonne action de la semaine : aller voir le gala Les Etoiles pour le Japon

Cela a lieu au Palais des Congrès le 31 mai, l’argent sera reversé à la Fondation de France qui se chargera d’aider les victimes du séisme. Je vous laisse la liste des artistes participants qui fait rêver tout de même !

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Carlos Acosta (principal, Royal Ballet Londres)
Michael Banzhaf (Primier danceur, StaatsOper Ballet de Berlin)
Ashley Bouder (principale, New York City Ballet)
Jiri Bubenicek (principal, Semperoper Ballet de Dresde)
Otto Bubenicek (principal, Ballet de Hamburg)
Elisa Carrillo Cabrera (premier danceur, StaatsOper Ballet de Berlin)
Isabelle Ciaravola. (Etoile, Opéra National de Paris) **
Marlon Dino. (principal, StaatsOper Ballet de Munich)
Olga Esina (principale, StaatsOper Ballet de Vienna)
Julien Favreau. (principal, Bejart Ballet Lausanne)
Mathieu Ganio. (Etoile, Opéra National de Paris) **
Dimitri Gruzdev. (principal, English National Ballet)
Mikhail Kaninskin (principal, StaatsOper Ballet de Berlin)
Igor Kolb (principal, Ballet du Theatre de Mariinsky)
Elena Kuzmina (principale, Eifman Ballet de St.Petersburg)
Lucia Lacarra. (principale, StaatsOper Ballet de Munich)
Roman Lazik (principal, StaatsOper Ballet de Vienna)
Femanda Oliveira (principale, English National Ballet)
Andrey Merkuriev ( premier danceur, Ballet du Theatre Bolshoi)
Shoko Nakamura. (principale, StaatsOper Ballet de Berlin)
Kateryna Shalkina. (principale, Bejart Ballet Lausanne)
Friedemann Vogel (principal, Ballet du Stuttgart)
Igor Zelensky (Principal, Ballet du Theatre de Mariinsky)

Pour réserver vos places, suivez le lien. de 35 à 150€.

  • Le bonus vidéo de la semaine : Fugitif de Sébastien Bertaud

Retour sur la soirée des danseurs chorégraphes, qui avait eu lieu en janvier. Voilà quelques extraits de la pièce de Sébastien Bertaud. A voir aussi  la pièce d’Allister Madin, en entier s’il vous plait sur sa chaine youtube.